La taxe GAFA est enfin adoptée au Sénat !!

 
Alors que les géants du numérique sont en moyenne deux fois moins imposés que les entreprises traditionnelles en Europe, les Etats européens ont échoué à s'entendre sur la création d'une taxe commune sur leurs chiffres d'affaires. Par suite, plusieurs pays dont la France mettent en place leur propre "taxe GAFA", Le "projet de loi portant création d'une taxe sur les services numériques" , en ordre dispersé. Toute l'Europe revient sur les enjeux de ce dossier.




La Taxe GAFA a été adopté le 21 mai 2019 par le Sénat à 181 voix pour et 4 voix contre.

Le premier article de cette loi introduit une taxe de 3% appliquée aux entreprises numériques dont le chiffre d’affaires est supérieur à 750 millions d’euros dans le monde et 25 millions en France. Sont donc concernées en premier lieu les fameuses GAFA : Google, Amazon, Facebook, Apple ou encore Airbnb, Meetisc et Instagram. Une trentaine d’entreprises sont ciblées, dont une seule française : Criteo. L’impôt estimé  sur ces différents acteurs est de 400 millions d’euros en 2019.

Contenu de la loi

La loi vise essentiellement à taxer les services d’intermédiation et la publicité ciblée c’est à dire, selon le texte :
« La mise à disposition, par voie de communications électroniques, d’une interface numérique qui permet aux utilisateurs d’entrer en contact avec d’autres utilisateurs et d’interagir avec eux, notamment en vue de la livraison de biens ou de la fourniture de services directement entre ces utilisateurs. »
« Les services commercialisés auprès des annonceurs, ou de leurs mandataires, visant à placer sur une interface numérique des messages publicitaires ciblés en fonction de données relatives à l’utilisateur qui la consulte et collectées ou générées à l’occasion de la consultation de telles interfaces. »
Ont notamment été exclus de la loi les services dont l’objectif principal est le paiement, les communications et la mise à disposition de contenus numériques, tels que Netflix ou Youtube par exemple.
Le projet de loi traduit l’opinion que les GAFA « retirent de la valeur créée à raison du « travail gratuit » des utilisateurs français ». La taxe se base donc sur la valeur accordée à l’exploitation des données à des fins commerciales par ces acteurs, et sur un objectif de meilleure équité fiscale. Cette assiette de 3% sera ajustée en fonction des services effectivement taxables fournis par l’entreprise et la proportion de leurs utilisateurs français.

Décision locale pour enjeu international

Les multinationales du numérique sont régulièrement critiquées au sujet de leurs politiques d’évitement des impôts locaux malgré le profit réalisé sur les données  « gratuites » des utilisateurs. Une étude de la Commission européenne de 2018 avait en effet constaté que les multinationales du numérique payaient 14% d’impôts en moins par rapport aux multinationales « traditionnelles ».
Le gouvernement avait engagé le 6 mars une procédure accélérée sur ce projet porté par le ministre de l’économie Bruno Le Maire, après l’échec d’une décision de taxation à l’échelle européenne.
Cette taxe sera seulement valable pour trois ans, des discussions pour parvenir à un consensus étant toujours en cours à l’échelle de l’OCDE du fait de l’opposition des États-Unis. La France devient ainsi l’un des premiers pays à mettre en place un système de taxation sur les géants du numérique, espérant faire un effet levier sur les négociations.
Déjà adoptée à l’Assemblée nationale le 9 avril, la loi doit désormais être adoptée dans les mêmes termes par l’Assemblée et le Sénat en commission mixte paritaire.
À noter que cette loi comprend un second article : la revue à la hausse de l’impôt sur les sociétés en 2019, dans le cadre des promesses de soutien au pouvoir d’achat suite au mouvement des gilets jaunes.

La Belle Vie : faire ses courses devient aussi facile que commander un Uber

 

Partons à la rencontre de Paul Lê et Alban Wienkoop, les deux entrepreneurs français qui veulent changer votre manière de faire vos courses.

Dans un avenir
excessivement proche, la norme voudra que vos courses vous soient livrées en moins d’une heure. Sur ce créneau de la livraison rapide, les médias parlent souvent d’Amazon Fresh ou d’Instacart. Ce sont pourtant deux entrepreneurs français qui ont été les premiers à dégainer sur ce secteur en France : Paul Lê et Alban Wienkoop avec leur épicerie fine en ligne La Belle Vie.
Leur objectif : proposer un service de livraison de courses qui soit aussi simple, rapide et fiable que de commander une course sur Uber.

« Startupper l’épicerie »

De manière assez surprenante, la livraison en 1h est un marché très complexe à adresser pour les géants de la distribution, m’explique les fondateurs de La Belle Vie.
Les outils ne sont pas là, l’ensemble de leurs entrepôts et la logistique n’ont pas été pensé pour permettre ce type de livraison rapide, etc.
La Foodtech est pourtant en pleine ébullition avec de plus en plus de services qui viennent proposer la livraison rapide de plats, mais personne ne propose un équivalent sérieux pour vos courses.
Quand Paul et Alban ont décidé de se lancer dans l’épicerie en ligne, ils ont pu se rendre compte qu’il leur fallait partir d’une feuille blanche pour réinventer ce métier.
Les fondateurs de la Belle Vie n’avaient ainsi pas d’autres choix que de développer leur propre solution pour gérer les commandes, le picking des produits par les préparateurs et enfin la livraison.

Concrètement

La Belle Vie propose un site web et des applications depuis lesquels vous pouvez commander plus de 3000 références : des fruits/légumes au fromage, en passant par la viande, le poisson, les épices, etc.
Tous les produits ont été choisi par la startup auprès de traiteur, de fromager, boucher, poissonnier (avec une grande partie des produits qui viennent de Rungis).
Puis, comme sur un Amazon, une fois que vous avez constitué votre panier, vous pouvez le payer en un clic et recevoir vos courses en moins d’une heure (parfois même moins de 30 minutes d’après votre localisation dans Paris).
Pour le moment réservé à Paris, le service pourrait rapidement s’étendre au reste de la France (le mot « Europe » est aussi apparu dans la conversation) : l’objectif étant vraiment de s’adresser à toute la population avec un service qui n’est pas forcément plus cher que votre épicerie du coin.
Lancé depuis 6 mois en version bêta, La Belle Vie s’ouvre officiellement aujourd’hui avec la mission assumée de vouloir « révolutionner votre manière de faire vos courses ».


Pour contrôler leur force nucléaire, les USA utilisent des disquettes de 8 pouces

 
   La bonne nouvelle, c’est que le Pentagone va arrêter de les utiliser en 2017.














  A l’ère des SSD et des disques durs de 1 Téra, le gouvernement américain utilise encore des machines datant des années 70. C’est ce qui sort d’un rapport récemment publié aux Etats-Unis par le Government Accountability Office.
Comme l’indique AFP, un système de commande et de contrôle du Pentagone, par exemple, fonctionne encore avec des machines IBM Series/1, lancées en 1976, et des disquettes de 8 pouces. La réalité est un assez différente de l’image véhiculée au cinéma, pourtant, ces machines anciennes, comme l’évoque le rapport, « coordonnent des fonctions opérationnelles de la force nucléaire des Etats-Unis » tel que les missiles balistiques intercontinentaux et les bombes nucléaires.
Selon un porte-parole du Pentagone, si ces systèmes sont encore utilisés 40 ans plus tard, c’est parce qu’ils fonctionnent. Mais la bonne nouvelle, c’est que les disquettes de 8 pouces seront bientôt remplacées par des moyens de stockages plus modernes d’ici 2017. Et l’intégralité de ces systèmes obsolètes devrait être remplacée en 2020.
Outre leur obsolescence, ce sont surtout les dépenses engagées pour maintenir ces systèmes qui sont pointés du doigt par le Government Accountability Office. En effet, moderniser les équipements coûterait aujourd’hui moins cher que de les maintenir. Mais le Pentagone n’est pas le seul à utiliser de vieux équipements informatiques. Le rapport évoque par exemple aussi le fait que le trésor américain utilise encore le langage assembleur.

ZTE présente son très puissant smartphone Axon 7, offrant un support au Google Daydream

      Croyez-le ou non, le nouveau flagship de ZTE, le Axon 7, promet d’être un smartphone Android plus puissant que le Galaxy S7 et le Galaxy S7 edge de Samsung. Et, il semble presque aussi bon.
Sur le papier, les spécifications pour ce smartphone tout en métal comprennent un écran de 5,5 pouces, un processeur quadricœurs Qualcomm Snapdragon 820 cadencé à 2,2 GHz, une puce graphique Adreno 530, et 4 Go de mémoire vive (RAM). Ce qu’il est intéressant de noter est qu’il comprend 64 Go de stockage interne par défaut.
Il dispose également d’un stockage extensible et, juste au cas où vous n’en ayez pas besoin, vous pouvez utiliser ce second port pour insérer une seconde carte SIM. Il a une caméra de 20 mégapixels à l’arrière avec la stabilisation optique d’image et la détection de phase autofocus, en offrant un support pour l’enregistrement vidéo 4K, et la vidéo au ralenti à 240 fps pour une résolution de 720 p. Il a une caméra frontale de 8 mégapixels. Enfin, on retrouve une batterie d’une capacité de 3 140 mAh qui offre un support à la charge rapide de Qualcomm, la Quick Charge 3.0. ZTE précise que vous pouvez charger la batterie à 50 % en 30 minutes, ou 100 % en 100 minutes.


       Le Axon 7 dispose également d’un connecteur USB 3.0 Type-C, d’un écran Gorilla Glass 4, d’une connectivité Wi-Fi 802.11ac, du Bluetooth 4.2 et une puce NFC. Vous trouverez également des haut-parleurs incrustés à l’avant, et un capteur d’empreintes digitales à l’arrière.
ZTE Axon 7 : vue de dessous
Le smartphone tourne sous Android 6,0 Marshmallow avec MiFavor 4.0, la surcouche de ZTE, en sus.

Prix du ZTE Axon 7, et casque de réalité virtuelle

Le ZTE Axon 7 est présenté comme une alternative à l’iPhone et aux flagships de Samsungqui sont des modèles très coûteux, reprenant beaucoup d’éléments de design de ses principaux concurrents et façonnant un smartphone tout en métal. Le Axon 7 est disponible en or ou gris, et ZTE a travaillé avec la filiale BMW Desingworks sur la conception du smartphone.
ZTE Axon 7 : ZTE a travaillé avec la filiale BMW Desingworks sur la conception
Il en coûte 450 dollars aux États-Unis, et reste à savoir si celui-ci arrivera en France. Autrement dit, il se positionne bien en dessous du prix du Galaxy S7 ou de l’iPhone 6S.
La société dévoile également un casque de réalité virtuelle, afin de répondre aux besoins du futur. Le smartphone vient se glisser dans celui-ci, le rendant extrêmement semblable au Gear VR de Samsung. Ce dernier, nommé ZTE VR, a un champ de vision de 96 degrés, et la distance de la pupille est adaptative.
ZTE Axon 7 : casque de réalité virtuelle
Alors que ZTE n’a pas révélé ses plans pour le contenu, il a promis que ce sera l’un des premiers dispositifs compatibles Google DayDream, la plate-forme de réalité virtuelle annoncée par Google il y a quelques jours. Il dispose d’un gyroscope à 9 axes pour la détection précise de mouvement.

Pebble 2 : la montre originale a été revue à notre plus grand bonheur

 
 Pebble a lutté pour rester pertinente dans un marché qui est maintenant dominé par la smartwatch d’Apple, et dans une moindre mesure, une flotte de smartwatches Android Wear. Mais, la firme revient en 2016 en frappant un grand coup en annonçant un trio de nouvelles montres connectées.
La Pebble 2 est une montre qui vient remplacer la Pebble classique, que nous avons appris à aimer, et a été rejointe par un modèle plus premium, la Pebble Time 2, et le nouveau Pebble Core, qui vient sans écran.
Les trois modèles arrivent avec les caractéristiques phares que l’on peut attendre d’une montre connectée dédiée au suivi de l’activité, et est également dotée d’un capteur de fréquence cardiaque pour un suivi précis du rythme cardiaque, la mettant à un pied d’égalité avec ses rivales Apple et Android.

Pebble 2 : date de sortie et prix

À nouveau, Pebble a choisi d’aller sur Kickstarter pour le lancement de sa Pebble 2, sa Pebble Time 2 et son Pebble Core. Cela signifie qu’il faudra attendre entre la fin de la campagne (qui a débuté) et le moment où les produits arriveront à nos poignets.


Concernant la date de sortie de la Pebble 2, la montre est prévue d’être expédiée à partir du mois de septembre — en supposant que tout se passe comme prévu. Cela ne devrait pas poser de problème, étant donné que Pebble est maintenant un vétéran du monde du crowdfunding après avoir réalisé avec succès plusieurs campagnes par le passé. Cela signifie que sa chaîne d’approvisionnement devrait être prête à la fin de la campagne Kickstarter.
Pour ceux qui sont arrivés tôt sur la campagne Kickstarter, ils ont pu mettre la main sur la Pebble 2 pour 99 dollars. Désormais, Pebble demande 129 dollars pour l’acquérir.

Pebble 2 : conception

Vous pouvez choisir la Pebble 2 en cinq coloris, et heureusement, elle arbore un design plus mince (39,5 x 30.2 mm) par rapport à l’encombrante Pebble qu’elle remplace.
Elle n’est pas vraiment mince (9,8 mm), et elle semble être plus longue que la plus légère Pebble Time 2. Néanmoins, et comme mentionnée précédemment, elle devrait rester plus agréable que la Pebble originale une fois sur votre poignet. Néanmoins, à contrario de sa grande sœur, elle n’est pas premium. Le polycarbonate est encore le matériau de choix, mais cela permet de maintenir le coût et le poids (31,7 g) vers le bas.

Pebble 2 : design

Le familier trio de boutons orne le côté droit de la montre, tandis qu’un quatrième bouton se trouve sur le côté gauche. Il y a un microphone intégré vous permettant d’enregistrer des notes vocales, et la Pebble 2 est également résistante à l’eau jusqu’à une profondeur de 30 mètres, ce qui signifie que vous pourrez prendre votre douche sans problème.

Pebble 2 : écran

Pebble a opté pour la même technologie d’écran e-Ink que l’on a découvert sur sa première smartwatch. La Pebble 2 dispose donc d’un écran e-Paper de 1,26 pouce avec une résolution 144 x 168 pixels. Un verre Gorilla Glass 3 est apposé pour bien la protéger.
Il n’y a pas de couleur, juste un fort contraste noir et blanc. Cela signifie qu’il est super facile de lire ce qu’il y a d’affiché sur la montre, même en plein soleil. Mais, vous ne recevez pas toutes les joyeusetés que peut apporter un écran couleur.

Pebble 2 : compatibilité

Pebble 2 : compatibilité

L’un des gros avantages des montres Pebble est leur capacité à fonctionner à la fois avec iOS et Android. Vous pouvez utiliser la Pebble 2 avec l’iPhone 4S ou un modèle supérieur, et avec au moins iOS 8 installé. Pendant ce temps, sur la plate-forme de Google, vous aurez besoin d’un smartphone fonctionnant sous Android 4,3 Jelly Bean ou une version ultérieure. Malheureusement, pour les utilisateurs sous BlackBerry et Windows Phone, il n’y a actuellement aucun support pour vous.

Pebble 2 : caractéristiques

Au cœur de la Pebble 2, vous allez retrouver un processeur Cortex M4 ARM exécutant Pebble OS sur l’écran e-Paper. La connectivité Bluetooth 4.1 permet à la Pebble 2 de se connecter à votre smartphone, mais il n’y a pas de Wi-Fi ou de puce GPS incrustée. L’inclusion du capteur de fréquence cardiaque va permettre à la smartwatch d’offrir de meilleures statistiques lors de votre activité physique.
Elle est très dépendante de votre smartphone, et sans lui, la Pebble 2 ne sera pas en mesure de faire autre chose que montrer l’heure et la date.
Enfin, la Pebble 2 a une excellente autonomie, puisqu’elle devrait offrir 7 jours d’utilisation sur une seule charge.

Charger son smartphone la nuit est la plus mauvaise idée du jour !

 

Combien sommes-nous à recharger notre téléphone la nuit ? Pourtant, il s’agit d’un très mauvais geste pour la planète et pour notre portefeuille ! Là où le téléphone devrait passer 2 heures à charger, il en passe parfois 8 sur le secteur…


L’Ademe (l’Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Énergie) a fait savoir qu’une étape vient d’être franchie car l’informatique représente 14% des factures d’électricité en moyenne, là où l’éclairage n’en représente que 12% ! La principale raison étant la multiplication des terminaux à recharger et le gaspillage.

Charger un téléphone ou un appareil la nuit, est un vaste gaspillage d’énergie

Il est vrai que de plus en plus de terminaux doivent être chargés quotidiennement (ordinateur portable, tablette, smartphone, baladeur numérique, smartwatch et toute une série d’objets connectés) et viennent faire grossir la facture d’électricité. Un grand nombre de ces appareils sont rechargés la nuit par simplicité, mais ce geste coûte non seulement de l’argent à l’utilisateur car il s’agit d’un gaspillage et en plus il s’agit d’un geste néfaste pour la planète.
Pour l’Ademe, il s’agit d’une très mauvaise habitude et l’agence souligne « Même quand le téléphone est chargé à 100%, le transformateur qui se trouve sur la prise, lui, absorbe de l’électricité en permanence ».
Florence Clément de l’Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Énergie a déclaré : « On ne s’en rend généralement pas compte, mais presque tous les appareils électriques continuent à consommer de l’électricité tant qu’ils restent branchés à la prise, car un courant résiduel circule toujours. Et cela, même si vous appuyez sur le bouton « arrêt ». C’est ce qu’on appelle les veilles cachées ». En moyenne, chaque français perdrait 70 euros par an, simplement pour ce phénomène.
L’Ademe invite tous les français à acquérir le même réflexe que celui d’éteindre la lumière quand on sort d’une pièce, mais pour les objets électriques. Elle recommande en effet de ne laisser branchés les appareils que le temps nécessaire à leur chargement. Si un téléphone nécessite 2 heures pour être chargé, pourquoi le laisser connecté 8 heures ? L’Ademe explique qu’à l’échelle de tout le pays, deux centrales nucléaires tournent à plein régime, uniquement pour perdre cette énergie inutilement, une perte de 2 milliards d’euros chaque année… cela fait réfléchir.

Google veut nous aider à passer à l’énergie solaire

 

Voilà une initiative qui va ravir beaucoup de monde dans les années à venir. Google propose d’utiliser Google Maps pour vous aider à réaliser des économies d’énergie.


Le projet Sunroof est un outil en ligne qui n’est disponible pour le moment que dans les villes de Boston et de San Francisco aux États-Unis, mais qui après sa phase d’expérimentation, pourrait aider tous les citoyens du monde à prendre une décision importante : passer à l’énergie solaire.

Sunroof : quand Google Maps permet des faire des économies d’énergie…

Un tout nouvel outil en ligne baptisé Sunroof et qui exploite Google Maps vient de voir le jour dans les villes de Boston, de San Francisco et de Fresno aux États-Unis. Dans un premier temps, il s’agit d’une phase d’expérimentation, mais rapidement ce nouveau service devrait se démocratiser. Sunroof permet de montrer aux utilisateurs les importantes économies d’énergie qu’ils pourraient réaliser en utilisant l’énergie solaire. Carl Elkin le concepteur de cet outil a déclaré : « Le Project Sunroof est dans une phase pilote pour l’instant, mais dans les prochains mois nous explorerons comment rendre l’outil meilleur et plus largement disponible ».
Concrètement, l’utilisateur a juste à taper son adresse dans un moteur de recherche et à sélectionner le toit de sa maison. L’outil indique alors le taux d’ensoleillement de la toiture. Sunroof de Google utilise un système d’images aériennes, comme celui utilisé pour Google Earth mais avec des capteurs d’ensoleillement. L’outil est relativement précis car il prend en compte la position du toit, son angle, la présence de végétation, les données météo de la zone et il est même possible de compléter l’équation avec ses propres données de consommation électrique.
Finalement, l’utilisateur obtient un résultat des économies qu’il réaliserait sur une année, en installant un panneau solaire. Google fournit également une liste des entreprises locales, effectuant des installations de panneaux solaires en marge de l’application, afin de diriger les clients potentiels dans leur choix.

SCREENSHOTLAYER : UN OUTIL EN LIGNE POUR CAPTURER DES PAGES WEB ENTIÈRES EN ENTRANT L’URL

 
Tout ceux qui ont déjà essayé de faire un screenshot d’une page web entière ont déjà pesté devant leur navigateur. En effet, la plupart des extensions Chrome ou Firefox sont instables et ne permettent de capturer que la partie visible à l’écran. Pour scroller, c’est parfois une galère interminable. Notons que les outils natifs Windows et OS X sont eux aussi très limités. Pour vous éviter de faire 5 screensots et de les assembler, il existe un outil qui vous allez adorer. Une vraie pépite : Screenshotlayer.
Son principe est d’une simplicité déconcertante : vous entrez l’URL de la page à capturer, et l’outil en fait une image. Toute la page, du header au footer est capturée. On peut ensuite la partager sur Twitter ou la télécharger en seulement 1 clic. A l’usage, on ne trouve aucun défaut à cet outil qui enregistre par défaut les images au format PNG. Autant dire qu’il est parfait ! Merci Freewares Tuto pour cette belle découverte.

Depuis que Google a changé de nom, les demandes de noms de domaine en .XYZ ont explosé

 

Le nom de domaine d’Alphabet, la nouvelle maison mère de Google, est ABC.XYZ.

Il y a quelques jours, Google annonçait une grande restructuration. Désormais, les actions Google sont remplacées par des actions Alphabet à Wall Street. Et si « Google » ne disparaît pas réellement, il devient une filiale de la nouvelle société holding au même titre que Nest, Google Fiber ou encore Calico.
Cependant, comme nous l’expliquions dans un précédent article, le nom de domaine de cette nouvelle holding n’est pas alphabet.com, étant donné que celui-ci est déjà pris par le constructeur automobile BMW. Pour aller sur le site de l’Alphabet de la firme de Mountain View, il faut saisir l’URL ABC.XYZ (ceci n’est pas une blague).
Il y a encore quelques semaines, peu de gens connaissaient l’existence de ce drôle de suffixe. Mais depuis que « Google » a annoncé qu’il devient « Alphabet », les demandes de nom de domaine en .XYZ ont explosé.
Comme le rapportent nos confrères de Reuters, les noms de domaine en .XYZ sont contrôlés par la petite entreprise de l’américain Daniel Negari (XYZ.COM), qui avait payé 185 000 dollars à l’ICAAN pour avoir le monopole. Et depuis que la nouvelle maison mère de Google a été dévoilée, les demandes d’adresses en .XYZ ont été multipliées par dix (avant l’annonce, l’entreprise ne comptait que près de 3 000 nouvelles adresses par jour).
« Je suis allé voir mon équipe et je leur ai dit que c’était la chose la plus énorme qui pouvait jamais nous arriver. J’ai relu le message tellement c’était surréaliste », témoigne le jeune patron de 29 ans. Ce dernier a croulé sous les propositions d’investissements et de rachat. Mais pour l’heure, il n’est pas question de vendre l’entreprise.

Windows 10 : Microsoft livre gratuitement des VM de test

 

   Webmasters et développeurs d’applications peuvent maintenant tester gratuitement Windows 10 via une machine virtuelle proposée sur le site Microsoft Edge Dev.

Microsoft vient de réviser son site de développement dédié au navigateur web Edge, l’une des nouveautés phares de Windows 10. Une machine virtuelle comprenant Windows 10 et Edge est maintenant proposée en téléchargement gratuit.
Notez que la firme étend également les moutures de ses machines virtuelles. Disponibles jusqu’alors en versions adaptées aux outils d’émulation Microsoft (Hyper-V et VPC) et VMware, elles le sont maintenant aussi pour VirtualBox. Des images pour QEMU seront même livrées prochainement.
La licence associée à ces machines virtuelles expire après 90 jours. Toutefois, Microsoft propose une astuce permettant de les réactiver indéfiniment : créer un instantané avant le lancement de l’OS, auquel il suffira de revenir tous les 90 jours.
Actuellement, les couples suivants sont proposés : IE6 sur XP, IE7 sur Vista, IE8 sur XP, IE8 sur Windows 7, IE9 sur Windows 7, IE10 sur Windows 7, IE10 sur Windows 8, IE11 sur Windows 7, IE11 sur Windows 8.1 et Edge sur Windows 10. Des outils efficaces pour les webmasters, mais également pour les développeurs d’applications desktop, qui pourront tester leurs logiciels gratuitement sur les OS Microsoft.

Android 6.0 Marshmallow : les données personnelles enfin protégées ?

 
Android M a maintenant un nom : Marshmallow. Mais aussi une fonctionnalité très attendue : la refonte de la gestion des permissions accordées aux applications.
Le nom de code de la prochaine version d’Android est maintenant connu. Android 6.0 « Marshmallow » succédera à Android 5.x « Lollipop ».
Google en profite pour mettre à jour les outils de développement dédiés à son nouvel OS mobile et pour livrer une nouvelle version de test d’Android 6.0, l’Android M Developer Preview 3, qui est compatible avec les derniers terminaux mobiles Nexus de la firme (Nexus 5, 6, 9 et Player). La mouture définitive de cet OS pourrait voir le jour avant la fin de l’année.
En plus de l’arrivée d’Android Pay, de la prise en charge native des lecteurs d’empreintes digitales et d’une meilleure gestion de l’énergie, Android 6.0 proposera une fonctionnalité très attendue dans le secteur des données personnelles : une gestion plus efficace des permissions accordées aux applications.

Gestion des données personnelles façon iOS

Les autorisations ne seront plus demandées par les applications lors de leur installation, mais lorsque ces dernières en auront besoin. Et il sera, par la suite, possible de changer ces permissions.
Ce mode de fonctionnement, calqué sur celui adopté par iOS, devrait permettre enfin aux applications Android de mieux répondre aux exigences de protection des données personnelles des utilisateurs. Même si ce mécanisme de contrôle ne sera proposé que sur les logiciels conçus pour Android 6.0.

C’est officiel, Facebook veut devenir une vraie plateforme de blog

 

Facebook permet depuis un bon moment d’écrire des « articles ». Mais avec les changements qui se préparent, cela pourrait devenir plus sérieux.

Non content de concurrencer YouTube avec sa plateforme de vidéos en ligne, Facebook souhaite visiblement aussi devenir un sérieux compétiteur pour les plateformes de blog comme Medium, Tumblr ou encore WordPress.
En fait, cela fait déjà très longtemps que Facebook propose un format « Article » ou « Note » en anglais. Mais peu utilisé, le format semblait avoir été oublié par Facebook. Cela m’a d’ailleurs pris pas mal de temps pour trouver comment en écrire un : il faut aller sur facebook.com/notes.
Dans sa version actuelle, l’article sur Facebook permet de partager de longs contenus texte avec la possibilité d’insérer des images et quelques options pour la mise en forme.
Mais comme l’ont signalé plusieurs internautes, le numéro un des réseaux sociaux est sur le point de procéder à un petit lifting pour ce format.
Ainsi, pour ceux qui bénéficient déjà de la nouvelle version, d’autres options de mise en forme sont disponibles (liens, hashtags, identification d’utilisateurs, etc.), en plus de la possibilité de mettre une photo de couverture en haut du contenu. Et le contenu serait affiché comme ceci :

Alors, cela vous intéresserait-il d’écrire des articles de blog sur Facebook ? Visiblement, c’est ce que souhaite le numéro un des réseaux sociaux. Celui-ci a confirmé à nos confrères de The Next Web qu’il est effectivement en train de tester une mise à jour pour le format Article pour que cela soit plus facile d’en créer et de les lire. En revanche, on ne sait pas encore quand est-ce-que cette mise à jour pourrait être déployée sur tous les comptes Facebook.
En tout cas, certains internautes n’ont pas manqué de faire la remarque selon laquelle la nouvelle version des articles Facebook n’est pas sans rappeler la plateforme Medium. D’ailleurs, cette année, Facebook a embarqué les employés de la société canadienne Teehan+Lax, qui a déjà travaillé sur le design de Medium.

Apple aussi a bien avancé avec sa voiture sans chauffeur

 

On savait la firme Apple capable de garder le secret sur un smartphone ou un PC, mais elle démontre sa capacité à protéger le secret de ses produits, même quand ils ont la taille d’une voiture sans chauffeur !


Finalement, Apple a lui aussi très bien avancé dans le domaine de la voiture sans chauffeur, mais travaille nettement plus dans le secret que ses concurrents, Tesla ou Google. Le projet Titan a très bien progressé et la firme de Cupertino annonce le début des essais et une mise sur le marché probable en 2020.

Apple sur le point de tester sa voiture sans chauffeur en toute discrétion

Le projet Titan de la firme à la pomme concerne la conception d’une voiture révolutionnaire, électrique, connectée et totalement autonome. Apple semble avoir terminé le gros du travail puisqu’il serait à la recherche d’une piste d’essais pour tester ses modèles incognito. Une base militaire désaffectée serait d’ailleurs le lieu possible de ces essais. La base de GoMentum Station, à Concord en Californie, serait l’endroit que la firme de Cupertino aurait prévu d’utiliser pour faire des tests à grande échelle, un lieu où l’on trouve justement de tout, des ponts, des tunnels, des carrefours, plus de 30 kilomètres de routes en plus ou moins bon état.
Des conditions parfaites pour bien tester les futures voitures autonomes d’Apple et leurs comportements avec les autres véhicules présents dans son environnement direct. A ce jour, on ne sait pratiquement rien de l’Apple Car, ni sur son design, ni sur ses capacités, le géant américain est parvenu à conserver une fois de plus, un total mystère sur son produit. On sait uniquement que ces derniers mois, la firme à la pomme a débauché des salariés chez Tesla et Mercedes.
La date de lancement de cette voiture sans chauffeur est 2020, mais Apple ne sera pas seul dans ce secteur, car Google, Tesla, mais aussi d’autres constructeurs automobiles dont les voitures sont précisément le cœur de métier comme Ford, Volvo, Nissan, Audi ou Mercedes seront de rudes concurrents.

Tuto : Comment restaurer un téléphone bloqué sur le schéma de déverrouillage ?

 
Vous le savez, la sécurité est aujourd’hui  l’un des maîtres mots dans les nouvelles technologies. Ces suites de mots et de lettres qui sécurisent notre vie en ligne sont parfois assez complexes à retenir. Nous vous proposons donc un tutoriel pour restaurer votre téléphone lorsque votre mémoire a flanché.
Vous avez bloqué votre téléphone suite à un oubli de votre schéma de déverrouillage ou du code ? Ne vous inquiétez pas, Google a mis en place plusieurs solutions pour vous permettre de réinitialiser les paramètres de verrouillage de votre smartphone.

La restauration grâce à votre compte Google

Après plusieurs mauvais essais, votre androphone devrait vous demander d’attendre 30 secondes, puis il vous proposera de vous connecter à votre compte Google pour vous authentifier. Une fois cette étape effectuée, il sera possible de modifier le schéma ou mot de passe enregistré préalablement.

La réinitialisation du mobile grâce au Gestionnaire d’appareils Android

Le gestionnaire d’appareils Android est un service mis en place par Google. Il permet de localiser son téléphone et également de le restaurer à distance. Cette fonctionnalité peut être très pratique en cas de vol, mais également dans le cas où le mobile est verrouillé. Il sera nécessaire d’être connecté au compte Google configuré sur téléphone et d’avoir au préalable activé la fonctionnalité sur l’appareil. Pour le faire, c’est très simple : rendez-vous dans l’onglet Paramètres Android puis Sécurité et activez les deux options suivantes : Localiser cet appareil à distance et Autoriser verrouillage et suppression des données.
Il suffit ensuite de vous rendre sur le site mis en place par Google accessible à l’adresse suivante.
Là, trois choix s’offrent à vous. Il est possible de faire sonner votre mobile, de le verrouiller et d’effacer le mobile. C’est cette dernière solution qui nous intéresse. Il vous sera demandé de confirmer la suppression de vos données. Une fois fait, votre mobile redémarrera est vous pourrez à nouveau jouir de votre smartphone. Notez tout de même que vous perdrez l’ensemble de vos données : c’est donc une manipulation à n’utiliser qu’en dernier recours.
Il est également possible de restaurer le schéma de déverrouillage grâce à quelques commandes ADB réalisées avec le SDK d’Android. Malheureusement nous avons testé la méthode sur quelques appareils à la rédaction et aucun n’a fonctionné. Vous pouvez retrouver la marche à suivre en anglais sur le lien suivant.

Mozilla veut rendre la navigation privée encore plus privée sur Firefox

 

Un nouveau must-have pour les amateurs de porno ?

Contrairement au personnage incarné par Joseph Gordon-Levitt dans le film Don Jon, je suppose que vous savez déjà que lorsqu’on visite un site porno, il faut toujours utiliser la navigation privée, notamment pour que l’historique ne mémorise pas vos habitudes douteuses sur le net.
Mais comme on peut le lire, par exemple, sur la rubrique d’aide de Google qui concerne la navigation privée, « les propriétaires des sites que vous consultez […] peuvent toujours consulter vos activités de navigation ».
Donc, voilà, en utilisant la navigation privée sur Chrome, Firefox ou un autre navigateur, vous vous assurez que votre femme ou votre petite amie ne saura pas que vous êtes allé sur PornHub lorsqu’elle vous a laissé seul. Mais au niveau du serveur auquel vous vous êtes connecté, il est encore possible de vous reconnaître, par exemple en ayant recours à des techniques comme le device fingerprinting.
Et du côté de Mozilla, on aimerait que la navigation privée soit vraiment privée (ou du moins un peu plus). « Notre hypothèse est que lorsque vous ouvrez une fenêtre de navigation privée dans Firefox, vous envoyez un signal pour dire que vous voulez plus de contrôle sur votre vie privée […] », lit-on dans une publication de blog.
De ce fait, la fondation teste une nouvelle « navigation privée » qui ne se contentera pas de protéger votre vie privée au niveau de votre ordinateur, mais aussi en bloquant les éléments des sites web qui peuvent être utilisés pour collecter des données sur vos habitudes sur la toile.
Après, puisque des éléments des sites seront bloqués, il est possible que parfois, ceux-ci ne s’affichent pas correctement. Et dans ce cas, il sera toujours possible de débloquer.
La fonctionnalité que Mozilla entend ajouter à son mode « navigation privée » n’est pas sans rappeler celle de l’extension Privacy Badger qui a été récemment lancée par l’EFF. Mais le fait qu’elle soit intégrée directement au niveau du navigateur sera sans conteste un plus pour Firefox.